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L'Envie a un visage [ Aleister ]

Aleister
L'origine de toutes les convoitises
AleisterL'origine de toutes les convoitises
Messages : 26
Date d'inscription : 22/05/2018

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Rang : Démon de l'Envie
MessageSujet: L'Envie a un visage [ Aleister ]  L'Envie a un visage [ Aleister ] 281ber7Mar 22 Mai - 21:37







" ALEISTER "

Envy Captain

Informations de bases • Je suis Aleister et j'ai ???? ans. Je suis un démon et je le vis moyennement bien. J'ai choisi V [BTS] pour illustrer ma face.

Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Lili. J'ai 30 ans et j'écris depuis 15 ans. J'aime les séries tv et je déteste les canicules. J'ai trouvé le forum sur KaKaoTalk alors qu’il n’avait que quelques minutes d’existence et je trouve que ces nouvelles catégories sont bien cools. J'ai hâte de jouer parmi vous :3


Caractère • Aleister, le désir de posséder
Aleister n’est plus un humain depuis très longtemps. Il est devenu un véritable démon de l’Envie. Certes encore d’un grade plutôt moyen, mais il maîtrise assez bien son sujet pour le déceler chez autrui et l’encourager sans même utiliser ses pouvoirs. Par contre, il a aussi de nombreuses faiblesses, dont la fâcheuse tendance à succomber au péché qu’il représente.

Pour un démon, Aleister a la particularité d’être plutôt honnête. Adolescent, il s’était juré de ne jamais mentir, pour racheter toutes les histoires de son jeune frère. En devenant démon, cette promesse s’est transformé en véritable serment. Il lui est tout bonnement impossible de mentir, ce qui ne l’enchante guère dans certaines situations. A cause de cela, il a du exercer son esprit à prendre des détours quand il parle, pour essayer de masquer la vérité. On ne peut pas dire qu’il excelle dans le domaine, alors il s’abstient juste de trop parler quand c’est possible.

Aleister n’a été invoqué qu’une seule fois dans toute sa vie, il ne possède donc pas toutes les ficelles du métier de larbin démoniaque. Pour l’instant, il n’a encore trouvé aucune faille dans le complexe contrat d’invocation qui le retient ici. Et de toute façon, son invocateur lui apporte plus d’aide pour retrouver Azazel qu’il ne lui met de bâtons dans les roues.

Parfois, il se demande pourquoi il tient tant que ça à retrouver son petit frère. Ou même s’il le considère encore comme tel. Depuis qu’ils ont cessé d’être humains, ils ont été plus souvent rivaux et amants que membres d’une même famille. Il lui vient souvent l’idée de tout laisser tomber. Mais, par habitude peut-être, il continue ses recherches.

Son affection pour son frère n’est pas la seule chose qu’il remet en question. Depuis cent-cinquante ans, il doit cohabiter avec d’autres esprits dans sa tête, dans ses corps d’emprunt. Un seul à la fois, heureusement, mais si tous ont fini par se ressembler sur le plan physique, leurs personnalités ont toujours été déstabilisantes au premier abord. Aleister a vu de tout, même un fou furieux totalement heureux d’être possédé, qui le conseillait même dans sa manière d’être démoniaque.
Il lui arrive parfois de se demander si ce qu’il désire vient vraiment de lui, ou si c’est à cause de l’autre esprit. Idem pour ses opinions. La frontière entre les deux volontés devient parfois floue et il se souvient même parfois de pans de son histoire qui ne se sont jamais produites, comme si sa mémoire avait incorporé et arrangé des morceaux de la vie de quelqu’un d’autre.

Quant à son mystérieux invocateur, Aleister ne sait trop quoi en penser. Il semble avoir comprit que le démon préférait habiter le corps de jeunes humains avec un fort potentiel de charme, à qui il donne, au bout de quelques jours, la couleur métallique de ses propres cheveux et celle du bleu pâle de ses iris. Et puis, cet invocateur lui apporte réellement de l’aide, il prend soin de lui. D’un autre côté, il lui fait faire ses basses besognes sans jamais rien lui révéler de ce qu’il trame. Aleister n’arrive donc pas à se décider à son sujet : l’apprécie-t-il au moins un peu ?

Dans sa vie de presque humain, à Ravenwell, Aleister s’est découvert quelques traits de caractère. Il aime copier les plus riches personnes qu’il croise, se confectionnant les mêmes tenues, les mêmes bijoux… C’est aussi quelqu’un de bordélique, qui aime amasser. Sa petite maison est terriblement encombrée, d’objets semi-précieux, en général vieux, cassés et pleins de poussière. C’est un chineur et il est loin d’être une fée du logis, pourtant son petit environnement lui convient parfaitement.

Aleister étant ce qu’il est, il lui arrive de coucher à droite à gauche. Prostituées et prostitués qu’il ne paye jamais, amants d’un soir, orgies, séances de bondage dans ce club très prisé de Ravenwell, enlèvement et séduction de jeunes filles, il n’a aucune limite quand il s’agit de libérer ses bas instincts. Il lui ait aussi arrivé de violer par jalousie, mais il s’en abstient généralement, préférant avoir la satisfaction d’être celui qui a été choisi.  


Caractère • Aloïs, voix au possédé
Aloïs, l'autre esprit du corps qu'occupe Aleister, est un jeune homme extrêmement pataud. D’après ce qu’il a pu voir de sa vie, Aleister en a conclut qu’il a été une éternelle déception pour sa famille et plus particulièrement pour son père. Aloïs ne proteste jamais mais il déteste tout ce que fait Aleister. Il ne réclame jamais rien mais désire tellement que ça en devient parfois oppressant. Aloïs aimerait avoir une vie confortable, loin de tous soucis, une vie sans effort, où il pourrait s’épanouir en toute liberté. Une vie d’artiste, même s’il n’a aucun don en la matière. Et surtout, une vie sans Gaietés.
Très fleur bleue, il provoque chez Aleister des rêves niais au possible, où de beaux hommes très classes, courageux et plein d’honneurs le délivrent de sa condition en l’emmenant très loin, sur un magnifique cheval blanc.
Aleister est certain que quelque part, Aloïs est très content de sa situation, car elle lui permet d’avoir une excuse pour ne pas avoir à affronter la vie.  


Histoire • Phase 1 - Le classique passé dramatique
Aleister, puis Azazel, sont tous deux nés à une époque où les empires de Nox et de Lumen n’existaient pas. A une époque et dans un lieu où l’habit à la mode était une toge. Une époque qui précédait de quelques centaines d’années le monde tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Fils d’un homme dirigé par l’Avarice et l’Envie, ils vécurent une enfance plutôt malheureuse, sans même une mère pour les défendre face aux plans tordus de leur paternel. Ce qui devait arriver, arriva. La condition même d’humain ne pouvait convenir à un tel et il finit par devenir un démon, abandonnant ses enfants sans une hésitation. Il conclut un pacte avec un seigneur de l’Enfer, qui put se repaître de tout le village en échange de l’âme de l’homme. Ce dernier suivit alors un parcours de longue haleine parmi les soldats infernaux et s’éleva dans la hiérarchie démoniaque. Il en fit d’ailleurs joyeusement part à ses enfants quelques années plus tard, en leur apparaissant en rêve. Pour qu’ils ne s’inquiètent. Et aussi probablement pour se vanter.

Aleister et Azazel grandirent depuis leurs 12 et 8 ans sans père et le grand frère dut s’occuper du petit. Il trouva un petit boulot de balayeur chez un joaillier. Tous les jours ou presque, il voyait des gens plus aisés que lui acheter des pierres et des bijoux d’une valeur surmontant son propre prix sur le marché aux esclaves. Il en devint envieux, rumina des moyens de voler son patron et de s’enfuir avec son petit frère. Vu qu’il y avait beaucoup de voyageurs étrangers, il supposait que le monde, en dehors de leur village, était plus facile. Malheureusement, il lui manquait une carte et le sens de l’aventure.
Deux longues années passèrent, durant lesquelles l’Envie d’Aleister ne cessa de grandir. Mais il n’agissait jamais. Il n’avait pas le cœur de faire subir le sort d’un fuyard à Azazel. Pourtant, il voyait bien qu’Azazel n’était plus le petit garçon innocent qu’il avait été. Il avait 10 ans et était rongé par l’Avarice, un défaut qu’il avait trop souvent vu chez leur père. Pire encore, Azazel était un menteur. Constamment, il s’amusait à raconter des histoires, plus ou moins crédibles, pour obtenir la pitié, le pardon ou l’innocence. Et Aleister était trop occupé, trop fatigué, trop envieux pour réagir et le essayer de le corriger. Pour contre-carrer les mauvais côtés de son frère, il se fit, à lui-même, le serment de ne jamais mentir. Et d’être honnête. Il abandonna ses plans. Se résigna à travailler dur. Mais jamais il ne put se débarrasser de son puissant sentiment de jalousie.

Le drame frappa un beau et chaud jour d’été. Par la fenêtre de la boutique dont il balayait presque paresseusement le plancher, Aleister surveillait son petit frère en train de jouer aux billes avec les enfants du coin. C’étaient des billes de terre cuite, moches et simples. Les enfants les avaient peintes de différentes couleurs, chipant ici et là des restes des teinturiers. Arriva alors un enfant plus grand, plus gras et mieux habillé. Il vint se vanter avec ses billes de verre, lisses, délicatement colorées. Sa mère était à quelques pas, en train de comparer les bijoux en or d’un étalage du marché. Aleister la connaissait, c’était une notable d’une ville voisine et une fidèle cliente de son patron. Ses jointures blanchirent sur le manche du balai quand il se souvint de sa dernière acquisition : un magnifique joyaux monté sur un collier en or. Elle le portait aujourd’hui, comme un trophée de chasse.
La dispute éclata, bien sûr. Azazel avait perdu sa plus belle bille de terre et refusait de la donner à l’enfant riche. Il essayait de lui faire croire qu’il n’avait pas du tout perdu. Avec un soupir, Aleister posa son balai et rejoignit les enfants. Il allait devoir faire son travail de grand frère, de père remplaçant, qu’il le veuille ou non. Quand il arriva, la voix méprisante de l’enfant riche lui écorcha les oreilles.
- Mon père est quelqu’un d’important, disait-il. Il peut te ruiner si je lui demande. Alors donne-moi cette bille. Je la garderai vingt-quatre heures, et puis je la jetterai à la poubelle. Ce sera encore trop bon pour ce qu’elle vaut.
Aleister ne ressentit aucune peur en entendant la menace. Aucun homme, aussi important soit-il, n’aurait assez de temps à gaspiller pour répondre à un tel caprice. Pourtant, il réagit. Parce que cet enfant lui rappelait tout ce qu’il aurait aimé avoir. Il voulait être à sa place. Ne serait-ce que pour avoir toujours un père près de lui.
- Ferme-la. Tu peux bien lui laisser sa bille, non ?
Le gosse le fixa droit dans les yeux, eut un sourire encore plus méprisant que son ton.
- Non. Je l’ai gagnée, elle est à moi.
- Tu crois que je ne sais pas qui est ta mère ? Explosa-t-il. Une sale croqueuse de diamants, qui n’a épousé son père que pour son frère. Regarde-la tout dilapider ! Tu n’as pas besoin de ces putains de billes, sale mioche.
Aleister saisit le sac de billes de l’enfant. C’était une jolie petite sacoche en cuir souple, avec de la fourrure sur le bord et un adorable cordon. Il la lança à Azazel, qui la rattrapa par réflexe. Quand on avait à peine de quoi manger, on apprenait vite à ne pas laisser tomber son pain sur le sol.
Il était allé trop loin, il le savait. L’enfant se mit à pleurer bruyamment, alertant la mère. De toute façon, elle avait tout entendu. Même si son fils n’avait pas été un pleurnichard, il aurait quand même été puni.

Aleister fut durement puni pour les insultes qu’il avait proférées envers cette famille, pour le vol et pour l’agression envers cet enfant. Il fut condamné à rester à genoux devant un poteau de bois, ligoté par les poignets, les bras maintenus en l’air. Pendant une semaine.
Tous les jours, un soldat venait le détacher le nourrir d’un peu de soupe claire et d’un bout de pain à moitié brûlée. Et puis, il le rattachait et lui donnait cinquante coups de fouet. Azazel venait le voir, tous les jours également. A chaque fois, Aleister voyait le sentiment d’abandon enfler dans les yeux de son petit frère. Ce dernier le voyait mourir à petit feu. Et Aleister, au bout de trois jours, commença à croire qu’il avait raison. Il allait crever avant la fin de la semaine. Déshydraté.
Le cinquième jour, Azazel ne vint pas lui rendre visite. Aleister s’était dit qu’il ne pouvait plus supporter de voir son frère dépérir. Le soldat, en revanche, vint. En fin d’après-midi, comme d’habitude, alors que les températures déclinaient légèrement. C’était ainsi plus confortable de donner cinquante coups de fouet. La nuit apparut ensuite. Puis Azazel. Qui tirait une grande et belle femme par la main. Aleister souhaita que ce ne fut qu’une illusion. Son dos était dans un piteux état, il ne voulait pas que son frère le voit ainsi, juste quelques heures après sa punition.
- Je m’appelle Lilith, dit-elle en lui caressant tendrement la joue. Ton petit frère, Azazel, m’a dit que tu accepterais mon aide. Lui m’a déjà donné son accord, mais je ne pourrai rien faire tant que tu n’auras pas donné le tien. Viens, Aleister. Viens vivre avec moi.
Il ignora l’avertissement dans sa tête. Donna son accord. Signa d’une croix de sang un parchemin qu’il ne lut pas. Ignora le fait que Lilith venait de faire apparaître un tourbillon de flammes dans les airs. La suivit docilement quand elle les fit passer à travers.

Aleister et Azazel étaient devenus des démons. Jouets de Lilith, elle les fit entraîner comme s’ils étaient ses propres enfants, par les meilleurs précepteurs des Enfers. Ils évoluèrent chacun dans deux cercles de péchés. Aleister était devenu un démon de l’Envie et Azazel un démon de l’Avarice. Quand ils furent plus mûrs, elle les entraîna dans son lit, comme des amants. Au début, ce ne fut qu’avec Aleister. Ensuite, elle les prit à tour de rôle dans ses appartements de luxure. Et puis, au bout d’un petit siècle, ils ne répugnèrent pas à la satisfaire ensemble. De toutes les façons possibles.
Azazel était néanmoins son préféré. Son petit chouchou. Il était adorable, disait-elle. Même en devenant un beau démon, il avait gardé quelque chose de fragile. Alors qu’Aleister s’était totalement transformé, en une créature de puissance et d’invulnérabilité. Bien sûr, Aleister était jaloux.

Au début, ce n’était qu’une blague. Il ne comptait pas le punir bien longtemps. Quelques mois, au pire quelques années. Il serait là, coincé dans ce corps de chaton, à miauler à droite et à gauche dans l’espoir d’acquérir un peu de chair de condamné. Ca amusait bien Lilith aussi, qui le trouvait d’autant plus adorable. Au moins, des deux frères, elle ne couchait plus qu’avec Aleister.
Et puis, Azazel disparut. Sans prévenir. La malchance lui était tombé dessus. Un invocateur, un débutant très certainement. Le voilà dans le monde des mortels ! Lilith refusa d’aller le chercher, elle avait bien d’autres chats à fouetter, rétorqua-t-elle en rigolant. Mais Aleister, lui, décida de ne pas l’abandonner. Son frère lui manquait déjà et puis, il se sentait légèrement fautif. Dans ce corps de bébé animal, Azazel ne pouvait guère utiliser beaucoup de ses pouvoirs. Il pourrait bien trouver la destruction, à terme, si ce n’était pas déjà le cas.

Aleister chercha longtemps un moyen de se rendre dans le monde mortel sans l’aide d’un invocateur, sans succès. Finalement, il dut s’en remettre à la chance et celle-ci lui sourit. Il se fit invoquer. Par un homme extrêmement puissant. Contre toute attente, cela allait lui permettre de se rapprocher de son frère.


Histoire • Phase 2 - Démon, mode d'emploi
Voici ce qui se passe actuellement pour Aleister, sous le joug de son maître depuis quelques cent-cinquante ans. Voici à quoi ressemble la vie d'un démon de l'Envie réduit à l'état d'esclave longue durée.

Démon sous le joug d’un maître extrêmement puissant et prudent, Aleister exécute toutes ses basses besognes qui s’inscrivent dans un plan complexe et malveillant dont il n’a pas encore pu deviner les cibles ou l’objectif final. L’identité même de son maître, jusqu’aux traits de son visage, lui sont étrangers.
Il dispose d’une certaine liberté dans ses heures de travail mais également durant son temps libre. Il a sa propre maison, un salaire misérable et un objectif personnel. Retenu par des menottes magiques invisibles à l’œil de quelqu’un qui n’est pas lié d’une manière ou d’une autre au monde démoniaque, ces liens le réduiront en cendres s’il s’éloigne trop de la zone allouée par son maître. En guise d’avertissement, une brûlure glaciale de plus en plus importante et étendue dans son corps d’emprunt se propage dans ses membres.
Le but d’Aleister est de retrouver son frère et de le libérer de l’enveloppe de chaton dans laquelle il est emprisonné.
Menaces de mort : la mort de son maître entraînera la destruction d’Aleister, il a donc tout intérêt à le protéger. Si son maître est en danger mortel, il peut le convoquer d’une simple pression sur un tatouage situé au creux de son coude, Aleister sera alors instantanément transporté à ses côtés. De même, son maître peut décider, ou non, de lui faire ressentir les douleurs de l’humanité, qu’il les ressente lui-même ou pas.
Si à son invocation son maître lui a fourni un corps, il n’a pas pris la peine de retirer l’âme. De même, il lui offre un nouveau réceptacle, plutôt de grande qualité, à chaque fois que cela est nécessaire. Et à chaque fois, Aleister doit souffrir les désagréments de la cohabitation. S’il fait mine de se rebeller, son maître a comme moyen de pression, outre tous ceux invoqués précédemment, de redonner le contrôle complet de son corps à l’âme d’origine. Simple spectateur, Aleister devra subir tous les tourments du corps humain sans rien pouvoir y faire. Il ne pourra pas non plus avancer dans ses objectifs personnels, dont est parfaitement informé son invocateur.
Il arrive que son maître l’aide à avancer dans sa quête personnelle, en lui fournissant des indices sur des lieux à explorer, ou même des informations brutes.  

Avancée de sa quête personnelle :
Aleister sait que son frère est dans le corps d’un chaton depuis avant qu’il ne quitte l’Enfer.
Il a appris de la bouche de son maître qu’il était entre les mains du prince Lucius.
Il a pu récolter une méthode pour extraire l’âme démoniaque de son frère et le renvoyer dans un autre corps, qu’il aura choisi. Cela grâce à des livres conseillés par son maître.
Son maître l’a envoyé à Cardinal, où il doit effectuer une mission d’espionnage et d’assassinat. Il sait qu’il y a de très fortes chances pour que son frère s’y trouve dans peu de temps.  

Les capacités démoniaques d’Aleister :
Son maître a pris soin de choisir ce que son démon esclave allait pouvoir conserver et Aleister dispose donc de beaucoup de pouvoirs.
Il ne peut pas se téléporter, car son maître préfère qu’il se fasse passer pour un assassin ou un voleur ordinaire si jamais il se fait surprendre.
Il peut faire succomber quelqu'un au péché d’Envie assez aisément.
Il a une force supérieure à celle d’un vampire, mais cela use plus vite son corps s’il s’en sert.
Il peut faire briller ses yeux dans le noir, de manière à évoquer les prunelles d’un chat.
Il a un puissant pouvoir de copie, qui a pour limite la modification radicale des traits de son visage, ou la création à partir du vide. Il lui faut une base d’origine assez proche de ce qu’il compte obtenir à la fin.

ATTENTION SPOILERS !!!!!:







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MessageSujet: Re: L'Envie a un visage [ Aleister ]  L'Envie a un visage [ Aleister ] 281ber7Sam 26 Mai - 12:45






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