La révolte gronde à Nox, le changement arrive et ça ne plait pas à tout le monde ! Choisissez votre camp et faites le vite, des têtes vont commencer à tomber.
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Sujet: Tous feux éteints [Saison 2 : Printemps ; Ep 1] Lun 3 Juin - 14:36
Tous feux éteints Arc 1 - Aveugle, aveugle c'est ta faute Il était hors de question qu’il vacille sur ses pieds. Il poussa le corps d’Elijah au sommet de la colline et le jeta dans la lave en fusion, puis ce fut le tour d’Aleister. “Tu ne crois pas que je devrais rester, avec Lucius ... ? Je suis un démon après tout et lui ...” Taesch passa sa large main poilue dans ses cheveux. Ils ne devaient pas traîner. Metternich arrivait et il n’allait pas être content du tout quand il verrait que son mari se faisait la malle avec toute sa suite. Oui, c’était là peut-être un mauvais plan, comme Yvan le répétait depuis le début, mais c’était le seul qu’ils avaient. Yggdrasil merci, Aleister fut trop distrait par la cavalcade des hommes de l’archiduc pour l’empêcher de le pousser dans la lave. Le liquide bouillonnant l’avala bruyamment, émettant quelques bulles de satisfaction. Lucius fut le suivant, le dernier et se jeta dans la lave de son propre chef. Le rejeton héritier de l’Empire avait de nombreux défauts mais on ne pouvait pas le traiter de lâche. Il était prêt à casser des culs, à violenter le démon qui les avait transformé en éther et à reprendre sa place au sein de la monarchie de son père. Il sauta en dernier, de justesse, et sentit son corps se désintégrer pour se reformer de l’autre côté. Il émergea d’une eau agréablement tiède, aux côtés des autres, déjà hissés sur la plage de rochers noirs. Les pommiers surplombaient les falaises et, de là où il était, il devinait la cheminée rouge du toit du manoir. Il savait où ils étaient. Irmingarde, sur la côte de Habsbourg. Ils étaient chez lui. Lorsqu’ils arrivèrent en haut de la place, tout le monde s’écroula, épuisé et Taesch s’autorisa à verser quelques larmes. Il était chez lui, dans l’endroit qu’il estimait le plus au monde. L’endroit qui, plus que la maison d’Innsbruck ou le manoir de Ravenwell, l’avait vu grandir, aimer et perdre. La seule question était : quand étaient-ils ? Sur un signe discret de Luscka, Lucius se redressa. Il retira sa lourde couronne d’or et les robes impériales dans lesquelles il nageait désormais. Son armure argentée tomba toute seule par sur les galets noirs, le laissait uniquement vêtu de sa cape lourde et d’une tunique trop longue. Taesch frappa Aleister à l’époque quand il le regarda avec un peu trop d’insistance. “Quoi ? Il devient vraiment ravissant.” Deux ans avaient passé pour lui et si Lucius n’était pas devenu parfaitement adulte, il avait laissé derrière lui l’adolescent un peu gras pour laisser place à un adulte au corps sculpté, aux épaules larges et à la carrure beaucoup plus proche de celle de son père, dix centimètres plus grand que l’ancien lui. “Arrête de dire des bêtises. Lucius a une fiancée.” Et c’était vrai, plus ou moins. Aleister dit quelque chose comme “et moi, alors ?” alors que Lucius utilisait sa magie pour se situer dans l’espace temps. Par saint Ferdinand, ce démon n’allait jamais la fermer ? “Avril ! Nous sommes en avril ! Nous n’avons été absent que pour la moitié de l’hiver !” Taesch soupira doucement. Ils n’avaient été absent que deux mois. C’était ... gérable. Il devrait sans doute expliquer de nombreuses choses à sa fille quand il la retrouverait mais il était presque près à répondre à “papa, pourquoi diable est-ce que des cornes ont poussé sur ta tête ?” et “Tante Vénus a fait n’importe quoi avec ton avis de recherche”. “Est-ce que nous sommes redevenus ... Nous ?” La question soulevée par Luscka était très bonne. Déguisé en spadassin, Luscka était bien moins impressionnant que dans ses habits habituels. Moins séduisant aussi. “La seule façon de le savoir c’est d’aller au manoir et de voir si on accepte de nous offrir une collation.” Bientôt, il serait temps de retourner à la capitale et de voir quels avaient été les dégâts causés en leur absence. En attendant, il avait juste envie d’un bon repas préparé par Phormion, d’un bon bain et d’une journée complète dans un véritable lit qui ne flottait pas sur des nuages. C’est ainsi que le vieux vampire, désormais doté de deux grandes cornes dorées, ornées de roses et de violettes, commença à escalader la butte qui les mènerait à la Grand Route. Peu lui importait que son corps ne soit couvert de paillettes dû à la cérémonie du mariage ou qu’il ne soit couvert que par des voiles roses et transparents et des bijoux en or. Il était chez lui. En haut de la falaise, on avait déployé des linges noirs sur tous les murs et aucun feu n'avait été allumé.
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DANS LE PASSEY
“Geta racheal mirmin” Lucius baissa les bras et Yvan poussa un juron. La magie n’avait pas court ici. Pas la magie des fées en tout cas. “Bon eh bien je suppose qu’on a plus qu’à marcher ? Histoire de trouver une issue ? Avec de la chance, on sera rentré avant l’heure du dîner.” Tout le monde le regarda comme s’il venait d’annoncer qu’il était Robin des Bois en chair et en os. Hm. Pas qu’ils savent vraiment qui était Robin des Bois. Elijah finit par hocher la tête. “Taesch a raison, on ne peut pas rester ici. Je sens une présence qui nous observe.” Et lui de conclure : “Très bien c’est décidé alors. En avant !” Il était le fils de Lilith, ils avaient un démon, un demi-démon et un invocateur puissant avec eux. Qu’est-ce qui pouvait mal se passer ? :copyright:️ Justayne
AleisterL'origine de toutes les convoitises
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Sujet: Re: Tous feux éteints [Saison 2 : Printemps ; Ep 1] Dim 9 Juin - 17:38
J’ai eu la peur de ma vie.
« Chochotte. Rappelle-moi pourquoi je te garde.»
Habitué aux regards plus que les autres s’habituaient à ses dialogues avec lui-même, Aleister se hissa sur la plage et secoua la tête pour en retirer le plus d’eau possible. Luscka en fut arrosé et grogna. Déjà qu’il ne l’aimait pas beaucoup à cause de toute la romance qui s’était naturellement développée entre le démon et son fils aîné ces deux dernières années, dans le cocon qu’offrait l’Enfer... Lucius, d’ailleurs, ne tarda pas à les rejoindre. Aleister ne se gêna pas pour le reluquer, bien sûr. Maintenant, il connaissait par cœur chaque millimètre de son être et rien n’était à jeter. Perdu dans ses pensées, il se laissa surprendre quand Taesch le frappa.
« Quoi ? Il devient vraiment ravissant.»
Et puis, ce n’était plus le moment d’essayer de le retenir, vu tout ce qu’il avait fait avec Lucius dans leur chambre aux Enfers. Ils en avaient mis du temps à trouver un moyen de revenir dans le monde des mortels.
« Une fiancée qu’il n’a pas vue depuis deux ans ? Et puis quoi encore ? Moi au moins, j’ai été là tout le temps !»
Luscka (oui, il se permettait de l’appeler par son prénom, ils avaient vécu beaucoup de choses ensemble et le Prince consort ne lui permettait toujours pas de le nommer «Beau-Papa») grommela qu’il était difficile de le contredire là-dessus.
« Je vous remercie, Luscka. Ravi de voir que quelqu’un me soutien enfin.»
Luscka soupira en battant des bras, ce qui effraya quelques mouettes. Aleister, lui, se rapprocha de Lucius. Ils ne reverraient probablement pas ladite fiancée avant très... très... Très longtemps. Alors même si leur idylle était pour le moment rattachée à leur excursion en Enfer, il avait tout le temps du monde pour imposer sa place dans le véritable univers de son prince charmant.
Tu es taré. Jamais l’Empereur ne te laissera faire. C’est évident. Abandonne.
« Je t’ai pas demandé ton avis, triste sire.»
Il passa une main légère sous la cape de Lucius, caressant le galbe de sa fesse, puis prit les devants. Son plan était de ne pas être trop insistant, de jouer la carte de la semi-indifférence. Il n’allait pas non plus passer pour un démon facile et rater son coup. Il savait très bien que l’interdit était le plus attirant. Y compris pour Lucius. Surtout pour Lucius.
Ils étaient en vue du manoir quand Aleister commença à se sentir trop serré dans sa veste en cuir bardée de clous, de piques et de chaînes. L’eau de mer, sans doute. Ou le volcan. Il descendit sa fermeture à glissière et se retourna. Il savait que Lucius poserait inévitablement son regard sur le torse sans défaut, couleur de lumière lunaire, du démon. Tandis que lui faisait semblant de contempler l’horizon.
« Par tous les saints ! Vos majestées ?! Monsieur Taesch ?! Généralissime ?!»
Aleister se retourna pour voir un garde aux couleurs d’Irmingarde accourir dans leur direction. Il tenait son casque à la main et ses yeux étaient écarquillés sous l’effet de la surprise. Il ne semblait pas en revenir. Effectivement, ce devait être surprenant.
On les conduisit à l’intérieur du manoir et si le garde essaya bien d’expliquer à Taesch ce qui s’était passé, ça n’avait qu’un babillage incompréhensible, car il n’arrivait pas à se résoudre à balancer l’information capitale qui le tiraillait. Une fois dans la maison, ils croisèrent une servante qui émit un cri perçant, lâcha son plateau de petits gâteaux à la crème et s’enfuit. Impressionnant. Il fallait dire que Taesch se baladait avec des cornes sur la tête et c’était assez inhabituel dans ce plan de l’existence. De grandes discussions empressées eurent lieu avec le majordome de la maisonnée, mais Aleister n’y prêta pas vraiment attention. Du moins pas au début. Tout occupé à glisser des objets brillants dans ses poches trop étroites, il surprit soudain des mots qui lui déplurent au plus haut point.
« ... Et votre fille, Charlette, est également ici. Elle sera sans doute soulagée de découvrir que son fiancé, le prince Lucius, est bel et bien en vie.»
Aleister se précipita en grinçant dans son cuir. Il aurait attaqué le majordome s’il n’y avait eu Yvan et Luscka devant lui.
« Lucius n’est fiancé à personne !»
Et puis, elle n’était même pas jolie. Il le savait, il l’avait déjà vue. Ce fut à cet instant qu’une jeune fille surgit de derrière une porte, dans une robe plus qu’élégante, pour venir se jeter au cou de Taesch en hurlant «Papa !» Bon. Okay. Apparemment, quand elle ne traînait pas dans une ferme à cochons, elle était magnifique.
YVAN-• Yvan avait vécu deux années horribles, et ce n’était même pas à cause du lieu de leurs petites vacances. Pendant de longs mois, il avait été dragué par un seigneur infernal plus que lourd. Bien sûr, Taesch avait suggéré qu’ils utilisent cela pour obtenir ce dont ils avaient besoin afin de rentrer. Ce qui avait suivi avait été extrêmement difficile pour Yvan, et il avait piqué de nombreuses crises de colère. Il avait rompu avec Taesch pas moins de sept fois. Il avait toutefois réussi à sauver ses fesses.Et la chance leur avait souri, puisqu’ils avaient pu terminer de mettre au point leur échappatoire le jour où Metternich devait l’épouser et donc gagner le droit d’accès à son cul. Selon une logique tordue du démon. Les choses s’étaient donc relativement bien terminées, si on exceptait bien sûr cette immonde tenue de marié dont il était affublé. De la dentelle noire et rouge couvrait à grand peine son torse et des menottes d’argent à longue chaîne entravaient ses poignets. Il avait hâte de pouvoir s’en libérer, comme du pantalon beaucoup trop serré qui chauffait ses parties intimes et lui rentrait dans les fesses. Il se sentait extrêmement vulnérable.
« Où est Isobel ?»
Yvan scruta la pièce par laquelle Charlie avait surgi. Pas de trace de sa fille. Il se précipita en avant, repoussant le battant d’un coup d’épaule. Alianora Fell affublée d’une jupe qui prenait beaucoup trop de place, poussa un petit cri et plaqua une main délicatement gantée sur ses lèvres parfaites.
« Où est ma fille ?!»
Prince Taesch CondéJoker
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Sujet: Re: Tous feux éteints [Saison 2 : Printemps ; Ep 1] Mar 11 Juin - 12:46
Tous feux éteints Arc 1 - Aveugle, aveugle des larmes dans les yeux Charlette avait l’air plus pâle et presque malade. C’était une fleur qui avait perdu de sa grâce et de sa pureté. Visiblement, sa fille avait connu d’affreux jours dernièrement. Il la serra plus fort contre lui, dans l’étreinte paternelle qu’elle recherchait. Voilà deux ans et demi qu’il n’avait pas vu sa petite fille et il mourrait d’envie de ne plus jamais la laisser partir. Il n’avait rien fait pour s’assurer qu’elle n’était pas morte lors de ces deux ans passés en enfer et, honnêtement, il ne pouvait qu’admettre que c’était parce qu’il avait une peur panique de la retrouver là dessous. Il commençait à se demander s’il avait bien fait d’amener sa fille à la Cour. S’il l’avait élevé sans jamais l’exposer aux événements mondains, il se serait certainement moins inquiété. Il sentait les petites mains de sa fille, toujours plus grande que lui malgré ses cornes, serrée contre son dos. Il ne doutait pas un instant qu’elle savait de débrouiller mais de là à la laisser ainsi ... Il voyait d’ici quelques lettres entassées dans un coin, près de l’escalier dont une de Monsieur Carmicheal, qui pensait sans doute profiter de l’absence de son père pour demander Charlette en mariage, comme il le faisait depuis qu’elle avait treize ans. Taesch détestait les bourgeois qui pensaient pouvoir s’attribuer sa fille. Il passa une main dans les cheveux de Charlette et s’étonna de leur longueur et de leur couleur. Elle qui arborait avec fierté ses belles boucles blanches avant de partir se retrouvait désormais avec une coupe courte et des cheveux ... gris, bien loin de la beauté qui était auparavant la leur. Il était surpris, mais il avait tout envisagé et il était déjà soulagé de la retrouver à ses côtés. Aleister et lui avaient même pris des paris, sur la façon dont ils retrouveraient leur monde. Taesch s’était montré particulièrement pessimiste. Visiblement, il devait quelques âmes de chatons innocents à Aleister. Naturellement, il ne lui rappellerait pas. Il n’était pas si stupide et s’en prendre à des chatons n’était pas un plaisir. Il s’écarta un peu d’elle et le regard qu’elle lança à son fiancé ne laissa aucun doute, elle était heureuse de le revoir. Aleister avait peut-être raison, elle ne l’avait pas vu depuis un bon moment mais visiblement cela n’avait pas altéré leurs sentiments l’un pour l’autre. Elle soupira doucement. “Magies ! Je savais que tu n’étais pas mort mais ... “ Elle était visiblement très émue et n’eut pas la force de finir sa phrase. Elle ressuya ses yeux. “Je t’en veux toujours pour la fugue, jeune fille.” Bien sûr, la tendresse dans sa voix ne pouvait la tromper et lui faire croire qu’il était fou de colère à ce propos. Elle ouvrit la bouche, comme pour se justifier mais Taesch passa une main dans ses cheveux gris. “Ne cherche pas d’excuses !” Charlie ferma la bouche et eut un sourire. Un sourire qui évoquait des bourriches remplies de poisson, l’odeur des pommes tout juste cueillies et du bon feu qui crépitait dans l’âtre. Il était chez lui et il en était heureux. Il n’avait plus qu’à demander à Emengarde de lui préparer un bon bain et d’avertir le cuisinier.
LUCIUS
Oh, quelle joie d’être de retour. Lucius sursauta en apprenant que Charlie était ici. Il sentit son cœur se serrer. La dernière fois qu’ils s’étaient vus, elle devait aider Milo à ramener Konstantin à Jem. Est-ce que Milo était là aussi ? Il lui manquait comme les premiers rayons de soleil manquaient visiblement à ce début de printemps. Il serra les lèvres. Quand Aleister explosa d’une colère inattendue, Lucius souleva un sourcil. Il lui tapota la tête comme on l’aurait fait avec un enfant qui piquait une crise et se mordit la lèvre pour ne pas rire. Il tenait tant que ça à lui ? Aucun risque ne courrait du côté de sa relation avec Charlie, bien sûr, mais il ne lui dirait certainement pas tout de suite. “Bien joué !, s’écria-t-il. Tu as résolu une situation politique compliquée en un tournemain.” Luscka émit un reniflement moqueur derrière lui et Lucius y goûta avec plaisir. Il s’était beaucoup rapproché de ses parents pendant ces deux ans. Il rendit à Aleister sa caresse de plus tôt et le dépassa comme si de rien n’était. Sainte Trassia, il aurait tout donné pour passer du temps seul avec lui. Quand Alianora s’avança vers eux, aussi choquée que possible, il voulut la féliciter de ne pas s’être évanouie mais l’attaque d’Yvan eut lieu aussitôt après. Charlie ne se laissa pas impressionner et Taesch passa une main dans le dos de son amant pour le calmer un peu. Alianora vint se placer près de lui et il l’embrassa sur la joue. Elle lui avait manqué, aussi. “Qu’êtes vous allées perdre ma cousine, jeunes demoiselles? - Lucius ! Elle a insisté pour rester. Il y avait une guerre. Tu la connais.” Sa belle robe bouffante, blanche et volumineuse, avait le col bordé de fourrure. Elle s’était rapidement adaptée à la mode des Condé. Parfaitement conscient du regard d’Aleister, il s’autorisa à regarder ses belles mains blanches. Oups. Pris sur le fait. “Votre fille est en chemin pour rentrer après avoir appris les récents événements, je viens de recevoir une de ses lettres. Aux dernières nouvelles, elle avait merveilleusement bien ...” Elle lui tendit une lettre, visiblement chiffonnée d’être lue et relue. Et puis, Lucius s’avança. “Et Milo ?” Charlie déglutit difficilement. Elle se rapprocha et prit ses mains dans les siennes. Elles étaient douces. “Il y a eu un naufrage et ... nous n’avons jamais retrouvé son corps mais le capitaine a dit que ...” Lucius se défit des mains de Charlie et hocha la tête. Il fut vite arrangé que tout le monde avait besoin d’un bon bain et de manger. Lucius leur assura qu’il les rattraperait. Le prince resta seul dans le hall et ferma les yeux, laissant quelques larmes filtrer. Merde ... si seulement quelqu’un l’avait écouté à la fin ... il avait dit à Milo de rentrer avec lui.
DANS LE PASSEY
“B... Blanche !” Taesch se retourna pour apercevoir un démon qui se dirigeait vers eux d’un grand pas féroce. “Blanche ! - Euh ... non ... moi c’est Yvan.” Le démon n’attendit pas la confirmation de quoique ce soit avant de planter ses quatre lèvres sur celles d’Yvan. Taesch sentit aussitôt pousser ses cornes mais ne dit rien. Ils pouvaient tirer parti de cette situation. :copyright:️ Justayne
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Sujet: Re: Tous feux éteints [Saison 2 : Printemps ; Ep 1]