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G.I. Joe, maintenant disponible

Georges I. Joe
Daddy
Georges I. JoeDaddy
Messages : 6
Date d'inscription : 11/08/2019
MessageSujet: G.I. Joe, maintenant disponible  G.I. Joe, maintenant disponible 281ber7Dim 11 Aoû - 17:15







" Georges Isaac Joe "

Commandant du Taraske

Informations de bases • Je suis Georges Isaac Joe et j'ai 754 ans. Je suis un noble et je le vis pas trop mal. J'ai choisi Antony Varrechia pour illustrer ma face.

Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Yvan. J'ai 800 ans et j'écris depuis 2 ans. J'aime la guerre et je déteste l'amour. J'ai trouvé le forum sur ta mère et je trouve que c'est trop coloré. J'ai hâte de jouer parmi vous :3


Caractère • Droit dans ses bottes
Fils de Isaac Joe, petit-fils de Hubert Fell, Georges Isaac Joe est un modèle de nationalisme et de puissance musculaire. Fidèle gros bras, il n’a pas son pareil pour hurler l’hymne national de l’Empire, ou celui de son duché maternel, qui est aussi son pays de cœur. Les chants de la justice et de l’ordre résonnent en lui et il se voit comme le gardien d’un troupeau d’heureux inconscients, qu’il faut chaque jour protéger. En tant que Commandant du Taraske, il s’assure que tout ce petit monde se déplace harmonieusement, évolue bien comme il faut, et que les événements se déroulent comme prévu, comme sur du papier à musique. Bien qu’il n’apprécie pas plus que cela les partitions, n’étant pas doué d’une grande imagination et n’ayant aucun grand intérêt pour toute forme d’art que ce soit.
Bien qu’effrayant, intimidant et borné, Georges se targue d’être du côté des « gentils ». S’il doit, par la force des choses, se trouver sous la coupe d’un tyran, il est certain qu’il fera en sorte que ce ne soit plus le cas très rapidement. En attendant, il refusera toujours de blesser l’innocent, le pauvre, la veuve et l’orphelin.
Avec ses airs et ses convictions de grand héros, Georges a bien sûr quelques défauts, qui vont de paires avec ses plus grandes qualités. Tout d’abord, notons qu’il est grandement sexiste. Contrairement au Généralissime Von Dast, il est plus que réticent à l’idée de laisser une femme manier l’épée, ou faire quoi que ce soit qui pourrait la mettre en danger d’ailleurs. Il a toujours coincé au sujet de Holly von Dast et est particulièrement satisfait qu’elle ait été remplacée par un homme, qui plus est un homme fort et puissant, avec de solides épaules. Il n’approuve pas non plus le comportement d’Isobel von Dast, bien évidemment, mais est-ce que le Généralissime l’écouterait ?
Georges a également tendance à se laisser porter par les aprioris. Chaque duché a ses particularités et ses habitants d’autant plus. Et bien Georges applique tout cela à la lettre et à l’extrême. Prenons par exemple les Condé. Et bien les Condé sont des gens faibles, mignons et à la langue râpeuse, qui s’habillent étrangement et n’ont aucun honneur.
Pour un Fell, on peut aussi noter que Georges manque singulièrement de grâce et de retenue. Encombrant, bruyant et horriblement visible, il aime chevaucher les plus grosses bêtes possibles, faire des carnages quand il s’agit d’éliminer une menace ou encore manger beaucoup de viande, bien cuite et accompagnée de divers féculents. Sa maison, située dans le quartier résidentiel des officiers à la caserne de Ravenwell, dispose d’une grande écurie où sont gardés pas moins de cinq chevaux. Des bêtes puissantes, venant des quatre coins de l’Empire. Georges aime aussi se déplacer en char, plutôt qu’en voiture fermée.  


Histoire • Un drame en téléfilm
La vie de Georges est à la fois simple et tragique. Né dans une petite bourgade à une cinquantaine de kilomètres de Blanche, la capitale fellinionaise, il fut élevé par des parents strictes et disposant de peu de ressources financières. Sa mère restait s’occuper comme elle pouvait de lui et de la maison tandis que son père galérait dans une carrière militaire qui lui allait fort peu. La plupart du salaire du paternel passait dans les soins que nécessitait le corps brisé de sa mère, victime d’un grave incendie accidentel peu de temps après la naissance de Georges. Finalement, quand il eut quarante ans, elle céda et mourut. Georges, qui participait alors aux besoins de la famille en rangeant des livres à la grande bibliothèque de Blanche, commença à douter. Tous ces médicaments, ces prothèses, ces chirurgies… Tout cela venait de Percellian, illégalement bien sûr. Ca leur avait coûté une fortune pour juste la maintenir en vie et, de temps en temps, apercevoir une étincelle d’espoir dans une légère amélioration. Mais est-ce qu’ils ne se seraient pas simplement fait arnaquer ? Georges en parla à son père, bien sûr, qui explosa alors de rage. Dans le flot de paroles qui lui échappa, il mentionna alors la véritable raison de l’état de sa mère. Elle avait surpris un groupe d’espions de leurs voisins humains et ils l’avaient battue, puis lui avaient foutu le feu avant de s’enfuir. Georges trouva son père bien stupide d’avoir cherché de l’aide chez les responsables même de l’état de sa mère et, dégoûté, décida de partir.
Après avoir fait son paquetage, il décida que s’éloigner de sa ville natale ne suffirait pas. Il avait besoin de voir le monde et autre chose que la rigueur de Fellinion. Il devait confronter son héritage culturel, peut-être trouver des réponses à l’injustice de sa vie. Il débarqua dans la Baie de Bête Noire, dans le duché de Liumnel. Son objectif était de grimper à Courtenay et d’y démarrer une toute nouvelle vie. En chemin, il fit halte dans un village et n’en repartit plus. Ce fut là-bas qu’il rencontra Campanule, une jolie femme au nom aussi ridicule que son rire. Il l’épousa. Quand il chercha du travail, on lui proposa de remplacer l’un des vieux professeurs de l’école, parti en retraite. Il accepta. Après quoi, il eut des enfants. Junior, pour commencer. Puis, cinq ans plus tard, Kirsten. Et enfin, le petit dernier, cinq ans encore après : Ambrosius.
Tout se passait bien, jusqu’au premier hiver d’Ambrosius. Encore une fois, ce furent des humains qui vinrent semer la pagaille. Des touristes, des gens de pouvoir chez eux, qui avaient aussi quelque pouvoir dans l’Empire. Armés d’un laisser-passer et du statut d’invité de marque, ils faisaient un petit tour du territoire d’Emilien Ier avec la bénédiction de ce dernier. Bien entendu, les Lumeni étaient arrogants et trop sûrs d’eux. Ils se sentaient protégés par leur laisser-passer et leurs gardes du corps. Enhardis par la boisson, ils voulurent piller et profiter des habitants, femmes et jeunes hommes confondus. Campanule, qui ne manquait ni de courage, ni d’honneur, s’interposa quand ils s’en prirent à leurs voisins, une femme seule avec son fils d’à peine cinquante ans. Elle avait dans la tête l’histoire de la vallée des deux cent dames et pria Georges de ne surtout pas intervenir, que cela ne ferait qu’empirer les choses. Malheureusement, son intervention de les améliora pas non plus. Georges arriva trop tard. Les gardes du corps avaient tué Campanule, blessé gravement leurs voisins et s’étaient enfuis avec les touristes Lumeni.
Mais Georges n’avait pas dit son dernier mot. Il décida de se rendre à Ravenwell avec ses trois enfants pour réclamer justice. Mais là-bas, il ne trouva que la compassion de la personne qui le reçu. Ce ne fut pas l’Empereur, ni un de ses plus proches conseillers. Il douta même que l’Empereur fut un jour mis au courant. En tout cas, justice ne fut pas rendue et Georges comprit que s’il voulait faire payer cette sale engeance, il devait s’en occuper lui-même.
Le rôle de voyageur vengeur et mercenaire ne lui allait pas, il décida donc de s’enrôler. Il fit ses preuves très rapidement. On lui disait souvent qu’il avait ça dans le sang. Pour Georges, c’était simplement que personne n’était plus motivé que lui à casser de l’humain. Bien sûr, il garda cela pour lui, il ne voulait pas que de mauvaises intentions ruinent sa carrière déjà brillante.
La rigueur exceptionnelle de Georges et son talent pour mener lui firent grimper les échelons assez spectaculairement pour se faire repérer d’Yvan von Dast, le Généralissime en personne. Comme il était trop jeune pour obtenir un « véritable » poste dans l’armée sans créer un soulèvement de la vieille noblesse, il lui proposa un grade au moins autant prestigieux : commandant du Taraske, sa nouvelle création pour se servir de façon utile de la découverte des dragons. Il y eut une période d’essai de quelques mois, puis Yvan le laissa aux commandes de l’unité.
Georges, qui appréciait de manger les choses exactement comme il les aimait, ne mit guère de temps à faire la connaissance du cuisinier du Taraske, un vieil artisan de Hochen qui avait des idées presque aussi arrêtées que celles de notre héro en la matière. Ils se disputèrent souvent, car l’un préférait le grill, l’autre le rôti cuisiné pendant des heures. Mais ce n’était pas grave, estimait Georges. Ce n’étaient que des disputes sans importance. Jusqu’au jour où, comme il avait emmené ses enfants au Taraske pour leur faire visiter (et dans l’espoir d’éveiller chez l’un ou l’autre une relation avec un dragon), toute la petite famille goûta à la cuisine traditionnelle du vieil hocheni. Les trois enfants subirent des maux de ventre atroces, mais ils survécurent après des heures de vomissements. Le lendemain, Georges se montra violent avec le cuisinier et quelques ustensiles. Il apprit finalement la terrible vérité : ses trois mioches avaient été empoisonnés et jamais leurs corps ne mûriraient plus. Ils étaient figés dans leur apparence actuelle. Cela les rendait immortels (en théorie, puisqu’il est impossible de vérifier une telle affirmation) mais peu crédibles. Une vie infernale les attendait.
Le cuisinier mourut, cuit dans l’huile bouillante. Il fut donné à manger au dragon de Georges, une énorme bête qui se délecta de ce petit en-cas. Désormais, Georges avait deux ennemis : les lumeni et les cuisiniers.

Bien des années plus tard, il fit la connaissance d’un certain Basil, un Condé. L’homme éveillait chez lui des sentiments contraires, entre l’attirance et la répulsion, l’admiration et le dédain. Quel guerrier du Taraske digne de ce nom portait des cheveux aussi longs et soyeux ? Il n’y avait vraiment que ces fourbes du duché de Condé pour vous tromper de la sorte. De toute façon, tous ses faits d’armes ne devaient êtres dus qu’à la chance et une tripotée de mensonges véhiculés par sa famille trop riche. En réalité, il ne devait pas être capable de se couper un morceau de beurre sans s’arracher un petit bout de peau. Il décida donc de garder ses distances, au moins pour le moment.
Quand Basil devint cuisinier à la caserne, Georges se trouva plus troublé encore. Il avait envie de se méfier de lui et de ses plats. Mais d’un autre côté, tout le monde louait la cuisine de Basil. Et si… Et si c’était dans ses capacités de guérir ses enfants ?
Mais il hésita trop et trop longtemps, si bien que le chaos finit par s’installer à Ravenwell. Basil finit au cachot et Georges sous la coupe d’un Empereur étrange, un Yvan von Dast qu’il n’avait jamais connu. Quand Basil s’enfuit, il vit là l’occasion de récupérer celui pour lequel, il devait bien finir par se l’avouer, il ressentait réellement quelque chose. Et surtout, celui qui avait, il en était sûr, le potentiel de guérir ses gosses.







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